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Texte: Spécial recyclage

Tendre vers le zéro déchet, c’est idéal. Il arrive toutefois des situations où on ne sait comment se départir convenablement de certains objets plus particuliers. Heureusement, des solutions existent pour éviter à ces matières le chemin du dépotoir.

 

Avant même de parler de recyclage, pensez d’abord à ce principe de base: RÉUTILISER. Pourquoi? Parce que tout objet qui n’aura pas à être produit ou transformé n’aura pas d’impact écologique; cela va de soi. Pour ce faire, développez ces 2 réflexes:

1- Utilisez au MAXIMUM ce que vous avez déjà;

2- Pensez DURABILITÉ si vous devez vous procurer un nouvel article. Ainsi, votre nouvelle acquisition pourra être utile et demeurer en bon état plus longtemps.

 

LA GESTION DES DÉCHETS

Pour ces objets dont vous souhaitez vous départir pour différentes raisons, il existe généralement 3 possibilités:

  • le centre de dons;
  • l’écocentre;
  • le bac de récupération.

Ces 3 solutions permettent le plus souvent d’éviter la situation la moins souhaitable: la poubelle.

Malheureusement, au Québec, c’est encore plus de 5 millions de tonnes de matières résiduelles par année qui aboutissent dans les sites d’enfouissement ou les incinérateurs. Conséquence: les sites d’enfouissement débordent, notamment remplis de nombreuses matières qui génèrent des quantités importantes de gaz à effet de serre (GES).

Il convient donc de voir le plus possible à offrir une seconde vie à vos articles.

 

3 ISSUES POSSIBLES POUR OFFRIR UNE SECONDE VIE À VOS ARTICLES

Le centre de dons

À privilégier pour tout ce qui est encore utilisable! Il y en a sûrement un près de chez vous. On parle notamment des friperies, des organismes communautaires, des ressourceries, etc. Un excellent moyen pour trouver ces services dans votre région est de consulter le répertoire en ligne du 211. Vous y entrez le nom de votre ville ou municipalité et sélectionnez, par exemple, la catégorie « Friperies et aide matérielle ». Rapidement, les ressources présentes dans votre région apparaîtront. Que ce soit pour donner ou pour y trouver un service, tout y est!

Certaines régions ont même des initiatives spécifiques comme:

Pour ces 3 organismes, vous trouvez une carte vous permettant d’identifier des points de chute.

L’écocentre

On y dépose généralement ce qu’on ne peut mettre dans le bac de récupération ou le bac de déchets. Sachez que les quelque 300 écocentres de la province n’acceptent pas tous les mêmes matières. La ressource incontournable à consulter pour savoir ce qui est accepté à votre écocentre est l’outil de recherche Ça va où ? : simple, rapide et efficace! Plusieurs des articles apportés prendront le chemin du recyclage lorsque c’est possible.

Le bac de récupération

Poubelle affichant le symbole du recyclage
Photo: Pixabay

Si on ne parle que du bac de récupération, rappelez-vous que ce dernier est destiné à ne recevoir que le papier ou carton, le métal, le verre et le plastique. Un même objet composé de plusieurs de ces matières ne peut généralement pas s’y retrouver. De plus, le bac de récupération ne reçoit globalement que des contenants, des emballages ou des imprimés. Le fait de ne pas respecter cette consigne engendre des problèmes dans les centres de tri: bris des machines, retards, taux de rejet plus important, etc.

Il n’est donc pas toujours facile de déterminer exactement ce qu’on peut ou ne peut pas mettre dans le bac de récupération. C’est souvent ce qui explique que tout ce qu’on pourrait y déposer ne s’y retrouve pas. C’est ainsi que sur un peu plus de 900 000 tonnes de matières consommées qui pourraient être recyclées, ce n’est que 64 % qui seront acheminées au centre de tri.

Afin de bien identifier ce qui est accepté dans votre bac de récupération, consultez la page préparée par Recyc-Québec à cet effet.

Parmi les matières qui parviendront au centre de tri, 82% prendront vraisemblablement le chemin du recyclage. Il y a donc une proportion de matières qui doivent être rejetées au triage ou pour lesquelles il n’existe pas encore de débouchés. En somme, si on considère tout ce qui pourrait être recyclé à l’intérieur de notre consommation, c’est à peine plus de 50% des matières qui connaîtront une seconde vie pas le biais du recyclage.

Au fait, qu’en est-il de ces objets pour lesquels on se questionne souvent et dont le parcours vers une 2e vie ne semble pas évident?

 

 

SOLUTIONS DE RECYCLAGE OU DE RÉCUPÉRATION PARTICULIÈRES… POUR DES OBJETS PARTICULIERS

Les montres

3 montres usagées à recycler

Saviez-vous que vous pouvez désormais recycler vos vieilles montres? En effet, cette solution vous est proposée par Solios, fabricant de montres solaires durables. Vous pouvez ainsi participer à leur programme de recyclage de montres.

De plus, dans une optique de réduction des déchets, l’acquisition d’une élégante montre Solios vous permet d’éviter le rejet de dizaines de piles, grâce à sa technologie solaire particulièrement durable.

 

 

 

Les lunettes

Paires de lunettes usagées déposées sur un tissu

Les lunettes en bon état mais qui ne sont plus adaptées à votre vue peuvent faire l’objet d’un don auprès de certains organismes. Des centres d’optométrie en font la collecte. L’organisation Terre Sans Frontières en a répertoriés sur cette carte interactive.

Sous l’angle du principe de réutilisation, il est souhaitable de choisir une monture indémodable et demander à ne changer que le verre lorsque votre vision le requiert, quand c’est possible.

 

 

 

 

Les mégots de cigarettes

Mégots de cigarettes jetés sur un sol rocailleux
Photo: Pixabay

Constitués de plastique et comportant plus de 100 composés toxiques, les filtres des mégots de cigarettes posent un véritable problème lorsque rejetés dans l’environnement. Bien que petits, ils peuvent représenter plus de 40% des déchets retrouvés dans les villes ou sur les plages. Ce sont donc des milliards de mégots qui se retrouvent chaque année, par lessivage, dans les cours d’eau. Sachant qu’un mégot peut mettre jusqu’à 12 ans pour se décomposer (en raison notamment de l’acétate de cellulose qu’il contient), on comprend bien l’ampleur du problème.

Afin d’éviter la présence de mégots perdus dans l’environnement, le programme Mégot Zéro  de la Société pour l’action, l’éducation et la sensibilisation environnementale de Montréal (SAESEM) gère un réseau de cendriers urbains. Ces derniers sont installés sur des artères stratégiques à Terrebonne et dans le Grand Montréal. Les mégots ainsi amassés sont ensuite acheminés à l’entreprise TerraCycle pour leur recyclage.

Évidemment, vous ne vous trouvez pas toujours près d’un cendrier. Ainsi, il est possible de vous procurer un cendrier de poche, qui vous permet de stocker une dizaine de mégots. Vous pourrez alors le vider lorsque vous aurez rejoint un cendrier. L’organisme suggère quelques endroits pour se procurer ces cendriers de poche. En attendant que le réseau soit étendu à la grandeur de la province (l’organisme est ouvert aux demandes provenant d’autres régions), le cendrier de poche peut éviter le rejet de mégots dans l’environnement.

 

Les vêtements

Pile de vêtements usagés

Il s’agit ici en fait de recyclage des tissus. On évitera bien sûr qu’ils aboutissent à l’enfouissement. La poubelle n’est donc pas la meilleure option.

Les impacts environnementaux de l’industrie textile se faisant sentir à plusieurs niveaux, il convient d’abord de penser à réduire votre consommation de textiles. Vous pouvez réparer au mieux les vêtements que vous avez déjà ou encore les réutiliser pour différents usages (linges de nettoyage, projets artisanaux, etc.).

Ces étapes franchies, il se peut qu’il vous reste quelques vêtements dont vous souhaitez vous départir. S’ils ne sont pas abîmés, ils pourront faire le bonheur des friperies, des organismes communautaires, ou même d’une personne de votre entourage. Sachez que de nombreux organismes au Québec veillent à ramasser vos vieux vêtements. La majorité des municipalités comptent un ou plusieurs bacs en différents points de dépôt pour les recueillir. À certains endroits, vous aurez même le choix de l’organisme auprès duquel vous voulez faire votre don. Pour trouver un centre de dons, consultez les suggestions énumérées plus haut ou informez-vous auprès de votre municipalité. Ainsi, certains organismes les redonneront à la communauté, en feront bénéficier des friperies, les exporteront ou les remettront à des recycleurs spécialisés pour en faire des chiffons industriels ou des matériaux de rembourrage.

Cela dit, le recyclage des textiles n’est pas encore parfait puisque les tissus qui ne trouveront pas preneurs pour être récupérés seront probablement enfouis. La situation au Québec est toutefois en voie de changer grâce à une initiative de l’organisme Renaissance, en partenariat avec Vestechpro. En effet, leur projet de recherche et développement permettrait de recycler, au Québec, les tissus provenant de dons, pour lesquels on n’a pu, jusqu’à maintenant, offrir de débouchés.

Lorsque vous faites un don de vêtements qui ne peuvent, de toute évidence, être portés de nouveau, prenez soin de regrouper ce type de vêtements dans un même sac, en y inscrivant la mention « non réutilisable ». Cela facilitera grandement le travail du personnel de tri.

Une solution des plus intéressantes permet de poursuivre 2 objectifs utiles: faire don de vêtements et financer des activités pour une école ou une garderie. Contactez Les Super Recycleurs pour présenter votre projet, après quoi vous pourrez effectuer votre collecte de vêtements et textiles usagés. Un de leurs partenaires s’acquitte ensuite du ramassage de votre collecte. Le fruit de vos efforts servira ensuite au financement de votre projet.

Pour le recyclage de vêtements ou uniformes des entreprises, il est possible de faire affaire avec le recyclage des textiles par les CFER (Centres de formation en entreprise et récupération).

 

Les cintres

Cintres de métal et de plastique

Malheureusement, les cintres ne peuvent être déposés individuellement dans les bacs de récupération. Une première distinction est à faire: il existe principalement des cintres de métal et des cintres de plastique. Les cintres de métal sont recyclables et sont acceptés dans plusieurs écocentres. Les cintres de plastique, quant à eux, étant souvent composés d’autres matériaux qui s’ajoutent au plastique, ne sont pas vraiment recyclables.

La meilleure solution pour les cintres? En faire don à des organismes ou des friperies qui gèrent de grandes quantités de vêtements.

 

 

 

Les attaches à sacs de pain, les goupilles de cannettes et quelques autres menus articles

attaches à sacs de pain en plastique

La Fondation Clermont Bonnenfant recueille ces articles afin de les récupérer par la suite. Ainsi, vous pouvez les déposer, lorsque vous en avez une bonne quantité, auprès de membres collaborateurs de votre région. Une carte interactive est prévue à cet effet sur le site de la Fondation au: http://www.fondationcb.com/ . Ces derniers rapporteront les fruits de votre récolte à la Fondation, qui elle, les remettra à des recycleurs. Les fonds amassés serviront à payer des chaises roulantes pour des personnes handicapées.

 

 

 

 

Les huiles usées et autres produits de mécanique

bouteille d'huile à moteur

Avis aux mécaniciens en herbe ou à quiconque devant disposer de produits tels que huile à moteur ou contenants d’huile, contenants en aérosol, ou antigel: la Société de gestion des huiles usagées (SOGHU) a mis en place un système permettant de les recycler. La carte interactive de la SOGHU  permet la recherche de points de dépôt dans votre secteur.

De plus, les écocentres acceptent généralement ces produits; alors, aucune raison qu’ils se retrouvent dans la nature!

 

 

 

Les matelas

Volumineux et composés de matériaux très différents comme le métal, la mousse de polyuréthane, le feutre ou le bois, les matelas ne devraient pas se retrouver dans les sites d’enfouissement. Ils pourraient alors prendre une centaine d’années pour se décomposer.

Heureusement, au Québec, des entreprises comme Matt Canada ou Recyc-Matelas se chargent de les démanteler pour en récupérer les constituants. Votre vieux matelas peut ainsi être laissé à votre écocentre. Plus simplement encore, demandez le ramassage de votre vieux matelas auprès du commerçant qui vous vendra le nouveau. Plusieurs d’entre eux ont déjà des ententes avec les recycleurs. Sachez également qu’à cette étape, il existe également une filière visant à faire don des matelas en bon état.

 

Les appareils électroménagers

Vos appareils électroménagers sont récupérables. Une nouvelle réglementation demande maintenant aux fabricants et aux détaillants d’électroménagers de mettre en place leur stratégie de recyclage des appareils. Ainsi, que vous laissiez votre vieil appareil à l’écocentre ou à votre détaillant par le biais de votre service de ramassage, ces derniers devront être recyclés.

Ce recyclage est d’autant plus primordial pour les appareils réfrigérants qui contiennent des halocarbures comme les CFC (chlorofluorocarbures) et les HCFC (hydrochlorofluorocarbures). Ces derniers sont de puissants gaz à effet de serre . Un seul appareil abandonné pourrait émettre plus de 3 tonnes de CO2. Au Québec, l’entreprise PureSphera, notamment, est équipée pour procéder au retrait de ces halocarbures.

 

INITIATIVES SPÉCIALES

La peinture

Vieux pot de peinture

Les vieux contenants de peinture peuvent être rapportés à l’écocentre Vous pouvez aussi trouver un point de dépôt sur le site d’ Éco-peinture.

Sachez également que plusieurs centres de rénovation ou quincailleries sont des points de dépôt pour les contenants de peinture.

 

 

 

 

 

 

Les piles

4 piles usagées

La plupart des écocentres acceptent les piles. Cependant, il existe parfois des points de dépôt plus près de votre domicile. Pour les identifier, consultez la carte interactive d’ Appel à Recycler. Vous y trouverez également un guide permettant d’identifier les types de piles.

Il est primordial de veiller à déposer les piles à un endroit dédié à cet effet. Les piles au lithium, par exemple, sont susceptibles de représenter un certain danger si elles ne sont pas traitées adéquatement.

 

 

 

 

Les appareils électroniques

Appareils électroniques usagés

Tout comme les piles, les appareils électroniques sont acceptés dans les écocentres.

Les petits électroniques sont acceptés dans les électrobacs (piles, MP3, appareils cellulaires, montres intelligentes, caméras numériques, etc.). Découvrez les points de dépôt des électrobacs dans votre secteur.

Pour les appareils plus volumineux (téléviseurs, VHS, etc.), en plus des petits électroniques, la carte interactive de Recycler mes électroniques s’avère des plus utiles.

De plus, plusieurs commerces offrent également un programme de récupération de ces appareils.

Ici encore, aucun appareil électronique ne devrait se retrouver dans les poubelles.

 

 

Les ampoules

Ampoule DEL

Pour les ampoules incandescentes (anciennes ampoules) et les ampoules DEL, vérifiez auprès de votre écocentre.

En ce qui concerne les ampoules fluorocompactes et les tubes fluorescents, il est important de les rapporter à un des points de dépôt de Recycfluo prévus à cet effet, puisqu’ils sont considérés comme déchets domestiques dangereux.

Pour plus d’informations au sujet des ampoules, consultez l’article L’ampoule écolo existe-t-elle?

 

 

 

Les masques de procédure

Masque de procédure bleu jeté sur du gazon

Un peu partout, des initiatives en vue de recycler les masques de procédure ont émergé. À ce titre, plusieurs lieux publics et établissements scolaires se sont prévalus de bacs ou de boîtes afin de ramasser les masques usagés. L’issue pour la revalorisation des masques n’est pas toujours la même, selon l’entreprise qui en fait la collecte. Toutefois, des procédés existent pour  retirer des masques les élastiques, la tige de métal et le plastique qui constitue le masque proprement dit, pour ensuite les recycler séparément.

Le programme Go Zero Recycle a notamment permis de mettre en place un système de collecte des masques usagés, à l’aide de boîtes de ramassage. Il est ainsi possible de commander des boîtes auprès de l’organisme pour ensuite les acheminer vers des points de collecte, en vue du recyclage.

 

 

Les cartouches d’encre

Il est possible de les laisser dans la plupart des écocentres, dans un électrobac (voir le lien ci-haut) ou dans un point de dépôt de la Fondation Mira.

Pour plus d’informations sur les cartouches d’encre, consultez l’article Que faire des cartouches d’encre usagées? 

 

La consigne

Déjà établie pour les contenants de boissons gazeuses, notamment, la consignation est en voie de connaître certains changements. En effet, des projets pilotes on été entrepris cet été dans 6 villes québécoises, en vue d’élargir, éventuellement, la consigne aux bouteilles d’eau, d’alcool et aux contenants de boissons en carton.

 

 

UNE INVITATION AU RECYCLAGE

Les entreprises qui souhaitent afficher leur bonne gestion des matières résiduelles peuvent le faire grâce au programme ICI on recycle + de Recyc-Québec. Consultez la carte interactive du site afin d’identifier les entreprises de votre secteur qui y participent.

 

L’AVENIR DU RECYCLAGE

Depuis son existence, le recyclage ne cesse de connaître des améliorations, malgré qu’il ne soit pas toujours parfait. On découvre encore aujourd’hui de nouveaux procédés pour le rendre plus performant. Ce n’est toutefois pas nécessairement une panacée. Il fait plutôt partie d’un ensemble de solutions visant à éviter de perdre d’importantes et précieuses ressources, en leur permettant d’être réutilisées dans de nouveaux produits.

Toutefois, les opérations industrielles souvent nécessaires pour y parvenir représentent des coûts, monétaires bien sûr, mais aussi environnementaux. C’est par exemple le cas pour le recyclage de certains plastiques. Il existe également des cas où le produit recyclé est de qualité inférieure au produit initial.

Le fait d’adopter des pratiques de consommation qui génèrent moins de déchets (qu’ils soient recyclés ou non), est de loin préférable.

Le recyclage a donc sa place comme solution de gestion des déchets, aux côtés de la réutilisation, de la récupération et bien sûr… de la consommation responsable.

 

 

Sources consultées

  • Recyc-Québec (2018). Bilan de la gestion des matières résiduelles. Recyc-Québec
  • Québec Circulaire 2020. Rapport MUTREC. Circularité de l’industrie textile au Québec. Rapport MUTREC
  • Radio-Canada (8 juin 2018). Où vont vraiment les vêtements que vous donnez? Radio-Canada
  • Radio-Canada (28 août 2019). Mythes et réalités autour des matières qui vont dans votre bac bleu. Radio-Canada
  • Catherine Courchesne (Mars 2019- No.137). Que faire avec les mégots? Info-tabac
  • Le Regroupement vigilance hydrocarbure Québec. Combattre le réchauffement un frigo à la fois. Le Regroupement vigilance hydrocarbure Québec
  • Alexis Riopel (21 avril 2021). Nos frigos, ces monstres pollueurs. Le Devoir
  • Paul Fontaine et Simon-Olivier Laperrière (27 juillet 2021). Les déchets de la pandémie. Le Devoir
  • Roxane Léouzon (15 octobre 2021). Les balbutiements de la filière du recyclage des vêtements. Le Devoir
  • Pierre Saint-Arnaud (13 février 2021). Les Québécois sont en faveur du recyclage, mais peinent encore à faire le tri. Le Droit
  • Le Courrier du Sud 16 juin 2021). PureSphera franchit le cap des 100 000 appareils recyclés de façon optimale. Le Courrier du Sud
  • Consignaction (15 septembre 2021). Des projets pilotes pour moderniser la consigne. Consignaction

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publié le18 octobre 2021 parElizabeth Lord

Classé sous: Habitation

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